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2. Présentation de la structure
3.
Présentation de la classe
a)
Composition de la classe
b) Profil
de la classe
4. Place de la famille dans ce dispositif
5. Orientations générales de la classe
6. Un projet pédagogique et éducatif pour le dispositif
8. Mise en œuvre de ces orientations
9. L’intégration et le champ disciplinaire
a)
Un partenariat entre le collège et une structure spécialisée
b)
Un partenariat entre le collège et une SEGPA
Les Unités pédagogiques d’intégration (UPI) constituent des dispositifs permettant des regroupements pédagogiques d’adolescents présentant un handicap mental au sein d’un collège.
Les élèves d’une UPI sont âgés de 11 à 16 ans. Ils présentent des difficultés qui rendent difficile leur intégration individuelle dans une classe ordinaire sans pour autant nécessiter l’admission dans un institut médico-éducatif.
Les UPI sont confiées à un enseignant spécialisé qui organise les activités pédagogiques et éducatives adaptées. Chaque adolescent, selon ses capacités, peut participer régulièrement ou plus occasionnellement aux activités d’une classe du collège.
Les élèves de l’UPI s’insèrent dans la vie scolaire de l’établissement où ils retrouvent des occasions d’insertion sociale et de coopération avec les autres élèves.
Par une convention entre le collège et un service spécialisé (SESSAD), les soins et les rééducations répondant aux besoins de chaque jeune sont assurés dans le cadre de leur projet individuel d’intégration.
2. PRESENTATION DE LA STRUCTURELe dispositif UPI fait partie intégrante du collège :
- la classe est située au deuxième
étage au centre du collège,
- cette salle offre un cadre très
agréable,
- le CDI, le self et la cour de récréation
sont des lieux de rencontre pour nos élèves,
- les services administratifs, le service
médico-social, la vie scolaire sont des endroits que les élèves
connaissent bien et qui leur permettent d’évoluer plus facilement
au sein de l’établissement scolaire.
La classe est composée de 6 élèves âgés de 12 à 13 ans (2 filles et 4 garçons). Tous ont connu un cursus scolaire antérieur au sein d’une école maternelle puis élémentaire (intégration individuelle ou partielle, classe d’intégration scolaire, temps partagé avec une structure médico-éducative, etc.). Chacun de ces adolescents vit dans sa famille d’origine.
Si l’UPI accueille des adolescents dont
le handicap mental a été reconnu par la CDES (Commission
départementale de l’éducation nationale), tous les élèves
de ce dispositif témoignent d’une capacité de communication,
de socialisation et font preuve d’une dynamique de progrès dans
les apprentissages scolaires en rapport avec les apprentissages fondamentaux
du collège.
Ces adolescents se sont très vite
intégrés au groupe classe. Ils ont d’abord fait connaissance,
ils venaient d’horizons différents, avant de s’apprécier.
Leur particularité et leur histoire commune les a rapprochés.
Ils ont donc construit leur groupe pour vivre plus facilement les intégrations
dans les classes ordinaires du collège.
Il existe aussi une grande transparence
dans nos rapports ce qui permet d’aborder tous les points qui pourraient
poser problème.
Ils sont conscients (pour la plupart)
de leur différence et comprennent qu’ils sont dans un dispositif
UPI. Ils savent par ailleurs que l’intégration est une ouverture
vers les autres, vers des compétences nouvelles aussi se sentent-ils
très concernés par cette nouvelle aventure et ont une
attitude très dynamique face aux
apprentissages.
Quelques soient les problèmes propres
à chacune de ces familles, toutes sont concernées par la
scolarisation de leur enfant et sont particulièrement attentives
à leur devenir.
Il faut donc que le travail soit conçu
comme un véritable partenariat avec ces familles. Pour des raisons
réglementaires d’abord mais surtout parce qu’elles sont les premiers
éducateurs de leur enfant. C’est la famille qui fait le choix d’orienter
son enfant dans cette structure, elle connaît dont le projet proposé.
De façon à ce que chacun
des partenaires puisse communiquer, échanger, élaborer un
projet, il est donc nécessaire de mettre en place :
- des rencontres collectives à différents
moments de l’année (rentrée scolaire, projet de classe, projets
spécifiques, etc.),
- des rencontres individuelles (projet
individuel, bilan orthophonique, etc.).
Mise en place et fonctionnement des UPI en collège.” Circulaire n° 95-125 du 17 mai 1995 et Annexes.
La durée hebdomadaire de la scolarité des élèves est fixée à 22 heures.
La classe fonctionne le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9 h à 16 h. Les élèves bénéficient d’un transport spécialisé pour les trajets entre la maison et l’établissement scolaire.
Le ramassage commence à Aulnays-Sous-Bois et l’une des élèves est prise en charge aux alentours de 7 h. Il nous a semblé judicieux de commencer les cours à 9 h pour ne pas obliger l’adolescente à partir encore plus tôt de chez elle.
Les horaires d’enseignement sont répartis
par groupes de disciplines comme suit :
Groupes de disciplines / nombre d’heures
Français, histoire, géographie,
éducation civique : 8 heures
Mathématiques, sciences et vie
de la terre, technologie : 9 heures
Education physique et sportive, arts plastiques,
musique : 5 heures
Total : 22 heures
Dans une perspective dynamique, la scolarité accomplie partiellement ou totalement en UPI de collège ne peut se limiter à une simple prise en charge de ces élèves. Trois points sont à noter :
- un projet individualisé d’intégration
et de formation,
- des actions pédagogiques,
- un suivi attentif.
La mission d’intégration des UPI conduit à rechercher la participation la plus active et la plus fréquente possible des jeunes élèves aux activités des autres classes du collège. Les objectifs prioritaires sont d’une part, de scolariser ces élèves même très partiellement dans des classes ordinaires (intégration scolaire) d’autre part de les faire participer le plus possible à la vie de la communauté scolaire (intégration sociale).
L’emploi du temps précise :
- le temps passé en UPI et le travail
effectué,
- celui passé en intégration
dans les classes banales du collège,
- les activités conduites avec
les collégiens ordinaires.
En ce qui concerne les actions pédagogiques, il faudra être particulièrement attentif à ce que le jeune développe ou confirme des capacités à :
- mettre en oeuvre les représentations
nécessaires aux acquisitions scolaires,
- réaliser les opérations
symboliques correspondantes leur permettant d’organiser leurs acquisitions,
- organiser les perceptions et les représentations
qui stabilisent l’acquisition de véritables compétences,
- généraliser à des
situations différentes, les savoirs et les savoir-faire et attitudes
acquis dans le cadre des apprentissages.
Les actions conduites devront permettre notamment de développer les capacités :
- de lecture et de productions d’écrits,
- de raisonnement logique élémentaire,
numération et résolution de problèmes simples, de
représentation de l’espace,
- d’appréhension des éléments
constitutifs du milieu de vie,
- d’autonomie dans les déplacements
au sein de l’Institution et hors de celle-ci.
Les évaluations diagnostiques :
Les évaluations cycle 2 en mathématiques
et les évaluations type 6ème-adaptée en français
ont permis de situer les élèves avec un peu plus de précision.
En effet, l’analyse qu’on fera des
évaluations va permettre aux projets
de prendre forme. Le choix de la solution la plus adaptée pour l’élève
est souvent difficile, notamment dans le cas du handicap mental : il dépend
souvent de la valeur que l’on attache aux compétences sociales ou
aux compétences purement “scolaires”. Dans tous les cas, la démarche
intégrative ne peut s’appuyer sur des seuils et critères
prédéterminés : elle doit s’adapter de façon
dynamique aux évolutions de l’élève, être attentive
aux indicateurs de souffrance ou de progrès.
L’action menée en UPI
Sur le plan des acquisitions :
Domaine de la langue
- Lire et comprendre,
- produire un texte de quelques lignes
en respectant la structure de phrase,
- reconnaître les différents
supports écrits et comprendre leur fonction,
- améliorer le graphisme.
Domaine des mathématiques
- Renforcer les représentations
dans le temps et l’espace,
- développer et fixer la numération
de base,
- confirmer la connaissance technique
de l’addition et de la soustraction,
- résoudre des solutions de problèmes
simples,
- acquérir quelques notions de
géométrie,
- avoir connaissance (représentation
et sens) des différentes notions de mesures.
Domaine de la vie sociale
- Appréhender autant qu’il est possible
les éléments constitutifs du milieu de vie,
- généraliser ses savoirs,
savoir-être et savoir-faire de façon à les transférer
dans diverses situations,
- développer l’autonomie dans les
déplacements à l’intérieur de la structure et surtout
à l’extérieur,
- aborder les perspectives d’avenir en
travaillant sur un dossier de “projet individuel de
formation”.
Sur le plan comportemental :
Il est important de développer des capacités qui vont permettre à ces adolescents de :
- maîtriser leur comportement dans
des situations sociales qui implique la vie de classe et la vie scolaire
en général,
- différencier leur comportement
de celui des autres et avoir conscience de l’unité de leur personne,
- construire leur propre identité,
- renforcer une communication réelle
avec autrui,
- restaurer la confiance en soi et de
là, renforcer l’autonomie, la prise d’initiative et de responsabilité.
Sur le plan de l’intégration :
- Intégration dans les classes ordinaires
en fonction d’un projet établi entre les différents partenaires
(élève/professeur/enseignant spécialisé/parents),
- intégration à la vie scolaire
en général (activités institutionnelles, clubs, etc.).
“Les actions intégratives, comme
le souligne la circulaire du 17 mai 1995, portent les valeurs de civisme,
de solidarité et de respect de l’autre au plus haut point.”
Pour les élèves de l’UPI,
les années passées au collège vont être un moment
fort de leur intégration sociale ; en effet, le collège va
représenter pour eux une “mini-société” avec ses attraits
et ses difficultés.
a) Utilisation de la dynamique de groupe : mise en place d’un cadre pédagogique
Le travail en groupe comme le travail individualisé nécessite un cadre :
- une organisation spatiale adaptée
par la mise en place d’espace de vie, d’espace de travail fixe ou mobile,
- une organisation temporelle par la mise
en place de calendrier, emploi du temps évolutif en fonction des
intégrations, des projets et des événements,
- la mise en place de supports variés
pour aider la classe à se structurer par rapport au temps social,
- une organisation matérielle :
rangements, consignes,
- une organisation des rapports humains
: donner des repères, gérer la communication et les échanges,
- une gestion dans les apprentissages
: méthode de travail, mise en place de groupe de besoins (qui peuvent
se modifier), mise en place de groupe d’intérêt, etc.
b) Individualisation des objectifs et des procédures pédagogiques
Constituer un dossier par élève dans lequel on trouvera :
- un état-civil,
- le projet individuel d’intégration
(document clé qui permet une lecture précise du projet de
l’élève),
- le projet individuel de formation,
- divers documents (évaluations
diagnostiques, traces de leur travail, etc.)
c) Intégration individuelle ou collective
L’intégration a diverses formes
: individuelle ou collective, à temps complet ou à temps
partiel. Si la mission du dispositif UPI est l’intégration
scolaire en milieu ordinaire, le projet mérite de s’attarder sur
la mise en place d’un tel dispositif.
« Les actions intégratives
comme le souligne la circulaire du 17 mai 1995 portent les valeurs de civisme,
de solidarité et de respect de l’autre au plus haut point. »
Chacun va s’apprivoiser et les choses
vont se mettre en place doucement. Les adultes sont présents et
vigilants.
Les intégrations se font à
partir d’un projet individuel, d’un centre d’intérêt, ce projet
peut être modifié si besoin est. Chaque jour de classe amène
les élèves à se confronter à la réalité
du quotidien : la récréation, les repas à la cantine,
les clubs, etc.
C’est pourquoi l’intégration, objectif prioritaire de l’UPI consiste :
- à favoriser pour chaque adolescent
un bien-être au sein de la classe, du collège, de la société,
de la vie ... sans pour autant tomber dans l'écueil de la protection
excessive,
- à consolider, à élargir
ses acquis pédagogiques lors de séquences d’apprentissage
individuelles ou collectives.
a) Commentaire de l’emploi du temps :
Les élèves qui sont tributaires d’un transport collectif sont accueillis et pris en charge par l’aide-éducateur. Ce moment d’accueil leur permet de s’exprimer sur leur matinée, sur ce qui leur tient à coeur, etc. Ils commencent ainsi leur journée. L’arrivée en classe doit se faire en silence puisqu’ils commencent leur cours à 9 h alors que les collégiens sont déjà en classe à 8 h 30. C’est déjà un premier pas vers l’éducation à la citoyenneté.
Histoire/géographie
Les élèves participent tous à ce cours, deux fois par semaine, avec la classe de 6ème 3. Cette séance permet aux élèves de suivre cette discipline avec un professeur d’histoire/géographie dans une classe ordinaire. Cette activité apporte énormément de richesses aux élèves mais aussi toutes les contraintes qui y sont liées : s’adapter à un nouvel enseignant, apporter et prendre soin de son matériel, etc. L’enseignante spécialisée qui les accompagne participe aux projets et fait régulièrement une mise au point avec le professeur sur le contenu du cours, le comportement et l’évolution des élèves.
Technologie
Le professeur prend deux heures :
- 3 élèves de l’UPI dans
sa classe de 6ème le lundi,
- 3 élèves de l’UPI dans
une autre classe de 6ème le vendredi.
Un projet de fabrication : “Porte-clés
lumineux” a permis de mettre en place une réflexion sur l’intérêt
qu’il y avait à intégrer ces élèves sur de
type de projet. L’aide-éducateur accompagne les élèves
et les soutient lors de manipulation un peu difficile (utilisation de matériel
technique).
Natation
Les élèves bénéficient
d’un créneau horaire hebdomadaire tout au long de l’année
scolaire. Accompagnés par l’enseignante spécialisée
et l’aide-éducateur, ils rejoignent un groupe de jeunes de l’établissement
spécialisé Henri-Wallon.
Cette activité est intéressante :
- elle permet à chaque élève
d’appréhender selon ses capacités le milieu aquatique,
- elle donne l’occasion à chacun
de nos élèves de rencontrer ceux de l’établissement
Henri-Wallon.
Mathématiques
Le professeur prend les élèves de l’UPI une fois par semaine et travaille les notions mathématiques à partir d’un support multimédia. Les élèves sont particulièrement intéressés par ces séances. Le prolongement se fait par l’enseignante spécialisée.
E. P. S.
Deux professeurs prennent deux élèves
chacun à leur cours. Ce temps d’EPS est important, il permet aux
élèves de rencontrer les collégiens sur un terrain
peut-être plus accessible et de montrer alors ce qu’ils savent faire.
Cette activité participe grandement à leur bien-être
psychologique et leur équilibre personnel.
Il serait important que tous les élèves
de l’UPI puissent accéder au cours d’EPS dès la rentrée
prochaine.
Musique
Une élève de l’UPI participe au cours de musique. Cette adolescente s’est rendue à la chorale à l’heure des ateliers proposés. Le professeur a noté qu’elle semblait intéressée par ce qu’elle faisait aussi a-t’elle suggéré de l’accueillir le mardi pendant une heure sur un projet (un spectacle à organiser). L’intérêt qu’elle porte au cours de musique l’a conduite à être intégrée au cours des 6ème 3 le jeudi après-midi.
SVT
Le professeur enseigne le contenu SVT niveau 6ème qu’il adapte aux élèves de l’UPI. Un travail en amont et en aval se fait entre le professeur et l’enseignante spécialisée de façon à ce que les élèves profitent au mieux de ce cours.
CDI
La fréquentation de ce lieu est
bénéfique pour nos élèves d’une part parce
qu’ils ont découvert un lieu riche en livres de toutes sortes et
d’autre part parce qu’ils sont confrontés à des règles
de fonctionnement qui leur demandent une attention particulière.
C’est aussi l’occasion de rencontrer d’autres élèves du collège,
c’est alors un environnement favorable à leur intégration.
Français
Les élèves retrouvent le
groupe classe pour travailler d’une part sur les disciplines vues dans
les classes ordinaires et d’autre part pour travailler sur des projets
plus spécifiques mis en place par l’enseignant spécialisé.
Les matières enseignées
tout au long de cette première année vont permettre aux élèves
:
- d’acquérir les compétences liées à leur progression (chaque compétence peut être rattachée à une compétence de l’école primaire et/ou à une compétence du référentiel général des CAP BO spécial n° 2 du 24 avril 1990),
- d’approfondir leurs connaissances à partir du contenu des cours,
- d’enrichir leur culture générale
à partir de supports choisis.
Les Arts plastiques
Le projet a été élaboré
avec l’aide-éducateur. L’objectif général retenu est
le suivant : l’élève doit acquérir des techniques
et des procédés qui lui permettent d’apprécier des
oeuvres et d’adopter une démarche créatrice.
Si cet enseignement a pour objet de rendre
l’élève conscient de ses possibilités sur le plan
de l’expression, de développer chez lui le désir et la capacité
de créer, de l’aider à se constituer une première
culture artistique, cette discipline est à mon sens indispensable
à son épanouissement.
b) Une autre manière de vivre l’intégration dans le collège
Le collège permet aux élèves d’accéder à différents clubs hors temps scolaire. Les élèves de l’UPI se sont inscrits dans ces clubs selon l’intérêt qu’ils trouvaient à l’activité :
- club théâtre,
- club jardinage,
- club jeux de société,
- club de philatélie,
- club informatique.
Les élèves participent à
deux activités. Celles-ci leur permettent de mettre en oeuvre leurs
connaissances, d’en acquérir de nouvelles, de prendre en charge
leur temps libre, d’établir de nouvelles relations, etc.
Un suivi très attentif, réunissant
une équipe éducative élargie autour du projet du jeune,
sera conduit régulièrement.
Des réunions de synthèse
ordinaires se tiendront au moins une fois par trimestre. Elle feront le
point sur la prise en charge scolaire, mais aussi rééducative
ou psychologique, si ces aides ont été jugées nécessaires.
Il faut que ce projet puisse s’inscrire dans une durée suffisante
pour être valablement évalué et que le jeune concerné
puisse assimiler les évolutions de prise en charge sans être
déstabilisé.
Les professeurs du collège ainsi
que les médecins du ministère de l’Education nationale, les
conseillers principaux d’éducation, les conseillers d’information
et d’orientation/psychologues font partie intégrante de l’équipe
éducative élargie et sont invités aux synthèses
concernant les jeunes qu’ils prennent en charge.
Il serait souhaitable que le collège
d’accueil puisse bénéficier des services d’une infirmière
et d’une assistante sociale qui, dans ce cas, participeront à toutes
ces séances de travail.
a) Un partenariat entre le collège et une structure spécialisée
Les textes précisent que “le collège
d’accueil doit signer une convention avec un SESSAD
dépendant d’un établissement
type institut médico-pédagogique/institut médico-professionnel...”.
La structure spécialisée devra alors prendre en charge :
- l’accompagnement de la famille,
- les prises en charges particulières prévues dans le projet personnalisé d’intégration de chaque jeune.
b) Un partenariat entre le collège et une SEGPA
Les élèves seront amenés
à suivre un cursus dans les classes ou les ateliers d’une SEGPA.
Une convention sera alors signée entre le collège d’accueil
et l’établissement le plus proche possédant une structure
d’enseignement général et professionnel adapté.